De l'Inde au Népal

Publié le par Gildas DELABALLE

Très chers lecteurs, NAMASTE ! (Bonjour en hindi !)
 
Commençons immédiatement ce nouvel article en vous disant : nayaa saal moubaarak ho ! Vous n'avez pas compris ?! Réfléchissez un peu, ça veut dire BONNE ANNEE ! Voyons ! C'est de saison ! L’hindi est la principale langue parlée par les indiens… attention, pas les indiens avec des plumes et des arcs… non, ça n’a rien a voir ! Ce n’est pas le même continent ! Il s’agit de ceux avec les vaches sacrées et le curry. Bon, arrêtons là pour les clichés…
Vous avez donc compris que nous sommes passés en Inde. Nous avons en effet quitté Bangkok le 17 novembre dernier et… quoi qu’est ce qui se passe encore ? On entend certain qui grognent ! Qu’est-ce qui ne va pas ? Ah oui, c’est vrai ça fait très longtemps… pardon, trop longtemps… qu’on a pas écrit un article… Oui, on comprend, vous étiez inquiets… Quoi d’autre? Vous avez un peu angoissé ?! Oui, oui, on comprend. Quoi encore ? Ah, votre angoisse s’est traduite par de subites et disproportionnées envies de grignoter, d'engloutir huîtres, saumons, foie gras, chocolats… Et donc, bien malgré vous, votre silhouette s'est légèrement déformée durant les fêtes, vous obligeant à rapporter dès le 26 décembre le joli petit pull col roulé offert par votre belle-mère (qui n'a d'ailleurs pas pu réprimer un petit rire narquois au spectacle de vos contorsions pour retirer le précieux cadeau...) ?!... Ah, et votre exaspération a été à son comble lorsque vous vous êtes rendus compte, lundi dernier avant d'aller au boulot, qu'il vous fallait passer au cran supérieur de votre ceinture (surtout si c'était le dernier cran...) ?! Et tout ça, à cause de nous ?! Ben voyons ! Bon ok, on est en retard dans la mise à jour du blog, mais il faudra vous trouver d'autres excuses pour la traditionnelle prise de poids festive !
 
Nous nous sommes donc envolés, disions-nous, de Bangkok le 17 novembre dernier à destination de Calcutta dans l’ouest de l’Inde. Une fois arrivés à l’Aéroport et après avoir changé de l’argent, nous avons décidé d’opter pour le taxi pour rejoindre le centre de la ville. Quelle erreur ! Durant les 2h30 nécessaires pour parcourir les quelques kilomètres qui séparent l’aéroport du centre ville, nous avons pu constater que Calcutta n’est qu’un gigantesque embouteillage bruyant : des voitures d’un autre siècle, ignorant feux et policiers, bataillent, à grands coups de klaxon, des centimètres de bitume face aux bus, monstres mécaniques ultra polluant, et aux innombrables taxis jaunes Tata. En effet, point de constructeurs japonais, ni même européens dans cette partie du Bengale-Occidentale. La voiture reine ici est une Tata, généralement complètement pourrie et dont le compteur, lorsqu’il s’agit d’un taxi, est tellement ancestral, qu’il faut une table de conversion plus récente et officielle pour pouvoir établir le tarif définitif… table dont bien évidemment le chauffeur ne mentionne l’existence que lorsque vous ne comprenez pas pourquoi il vous faut payer plus cher que ce que le compteur indique…
 
Après avoir traversé les pelouses d’un parc public afin de contourner les embouteillages, notre taxi Tata nous a donc déposés devant notre hôtel… hôtel à l’image de la ville : sale, bruyant et inconfortable… l’un des plus miteux qu’on ait fait, c’est vous dire ! Nous avons ensuite été nous promener en ville pendant 2 jours. Comment décrire notre ballade ? Nous avons beau avoir été familiarisés avec la misère, parfois extrême, au Cambodge et en Bolivie, nous avons comme tous les touristes pris une gifle. Sans doute avons-nous commencé par une des villes les plus brutales d’Inde. Il n’y a en effet quasiment aucun touriste, ou très peu, mais il y a tellement de monde qu’il est impossible de les distinguer. Avec 13,2 millions habitants, Calcutta est l’une des villes les plus pauvres du pays, et après avoir arpenté des rues reculées, on peut vous dire que c’est toujours la Cité de la Joie. Sans doute Dominic Lapierre estimerait que la ville a pourtant bien changé, mais un constat est toujours présent : on naît, meurt, vie, dort, se lave, mange, urine, défèque, se rase, se coiffe, etc. dans la rue. Tout se passe dans la rue ! Ces rues si sales et surpeuplées regorgent de misère. Il est impossible de ne pas apercevoir ces enfants débraillés, quand ils ne sont pas dénudés, qui se disputent quelques restes d’aliments dans le caniveau, ces handicapés et autres amputés qui souvent rampent à même le sol en suppliant une aumône, et enfin ces corps inertes qui gisent parfois dans quelques coins de rues un peu moins fréquentées et dont on ne sait pas s’ils sont encore en vie.
 
Et c’est là toute l’ambiguïté de l’Inde : regorgeant de trésors, de monuments et de paysages, elle offre également le spectacle d’une pauvreté brute, violente, indescriptible et presque irrémédiable. Et s’il faut, pour le touriste, la distance nécessaire pour pourvoir, malgré tout, visiter l’Inde, on ne peut s’empêcher de ressentir une certaine révolte à la pensée de la croissance économique de ce pays, croissance à deux chiffres qui fait fantasmer tous les chefs d’Etat des plus grandes puissances, et qui pourtant est encore loin d’aboutir à un partage équitable et une amélioration substantielle de la majorité des 1, 27 milliard d’habitants du sous-continent, comme on l’appelle. D’autant plus que cette misère revêt un caractère fataliste directement inspiré du système des castes, puisque une personne miséreuse est délaissée car ne bénéficiant pas d’un bon Karma ; la faute très certainement à son attitude et ses actions lors d’un une vie antérieure. Pas de chance ! Ce sera mieux dans la prochaine vie ! Telle est la philosophie indienne.
 
Nous avons ensuite quitté la cité de Mère Thérésa pour nous rendre dans le nord-est du pays en train. Le train est l’un des moyens de transport le plus utilisé en Inde, et le réseau de chemin de fer est très dense. Il faut cependant au préalable acheter son billet, ce qui est assez folklorique : il faut, en effet, faire la queue pendant plus d’1 heure pour enfin arriver devant 2 préposés dont la productivité n’a d’égal que le manque d’amabilité et d’organisation. Il faut évidemment deux agents, puisque l’un lit les n° de passeport et les dicte à l’autre, qui les tape à une vitesse telle qu’à côté, un septuagénaire, récemment initié aux joies de l’informatique, pourrait presque passé pour une dactylo expérimentée.   
 
15h de train couchette inconfortable + 3 heures de jeep encore plus inconfortable pour arriver à 2134m d’altitude à Darjeeling. Avec la chaîne de l’Himalaya et 4 de ses plus hauts sommets en toile de fond, Darjeeling, juchée le long d’une crête abrupte, est une station climatique par excellence. Des paysages vêtus de couleurs vives égaient les plantations de théiers qui couvrent les collines environnantes. La population essentiellement népalaise et tibétaine se mélangent agréablement aux nombreux touristes qui affluent après la mousson. Nous avons donc nettoyé nos poumons de la pollution de Calcutta et Bangkok et avons également pu profiter d’un magnifique levé de soleil sur le Khangchendzonga, point culminant de l’Inde et 3ème sommet le plus haut du monde.
 
Nous sommes ensuite redescendus dans la vallée afin de pouvoir franchir la frontière tibétaine au nord-est de l’Inde. La chose a été relativement aisée et nous avons, dès le soir même, pu prendre un bus à destination de Katmandou. L’un des voyages en bus les plus long et inconfortable de tout notre périple (il est temps que ça se termine…) : voyage de 18h dans un bus aussi vieux que surpeuplé, qui a eu beaucoup de peine a traverser les embouteillages de l’agglomération de Katmandou.
 
La ville de Katmandou est elle aussi bruyante, polluée et surpeuplée, mais beaucoup moins qu’en Inde. Elle offre, de plus, de magnifiques visites de monuments très bien conservés alliant harmonieusement architecture bouddhique et hindouiste. Malgré la haute saison terminée, on croise de nombreux touristes, tous en transit entre deux trecks en himalaya. Nous sommes en effet au pied de la fameuse chaîne et il est absolument fabuleux de la contempler un peu à l’écart de Katmandou sur les hauteurs environnantes. Il faut cependant s’y rendre, et nous avons décidé de louer une moto, moyen de transport le plus utilisé et le plus rapide. Seulement, il s’agit de cylindrés beaucoup plus grosses que les scooters indonésiens et thaïlandais, et Gildas, qui n’avait jamais conduit de moto avec un embrayage, a directement plongé dans le grain bain…La circulation au milieu de toutes ces voitures, motos, bus tous aussi zigzagants, bruyants, polluants les uns que les autres, donne au périph parisien des allures d’autoroutes nord-américaines désertées. Gildas pense qu’après une journée de conduite dans Katmandou, il saura conduire une moto n’importe où. Alors, les propriétaires de motos, un conseil : planquez la votre !!!
 
Après nous être offert un survol de la chaîne himalayenne afin de photographier de près l’Everest (après tout c’était bientôt noël), nous avons pris encore un de ces horribles bus pour nous rendre a Pokhara, ville située plus a l’Est du pays et lieu de départ de nombreux trecks. C’est en effet au départ de cette ville que nous avions décidé de tenter la grande boucle des Anapurnas.
Il s’agit de la randonnée la plus célèbre du Népal et qui contourne l’ensemble du massif des Anapurnas, puisqu’on passe d’une vallée à une autre, en passant de 850m d’altitude à 5420m. On peut réaliser ce treck, si on le souhaite, accompagné de guides et de porteurs et il faut généralement de 15 à 18 jours pour boucler la boucle. Nous avons décidé, pour notre part, de nous passer de porteurs et de guide, et nous avons mis 11 jours pour faire ce magnifique treck. Bon, une fois arrivé, on était littéralement creuvé ! Outre le passage du col à très haute altitude, les difficultés résident dans le fait qu’il nous a fallu marcher 220 km, à 6h de marche par jour en moyenne, et gravir près de 7500 m de dénivelé cumulés. Mais quelle expérience inoubliable !!
 
Si les 3 premiers jours sont assez rudes physiquement, le reste du treck offre des vues spectaculaires. L’attrait du treck réside également dans le contact avec la population. En effet, on traverse de très nombreux villages où l’on peut se loger et dormir, et c’est une vision véritablement dépaysante de voir ces gens vivre au quotidien, à plus de 7 jours de marche de la moindre ville, réapprovisionnée uniquement à dos d’homme ou de mules. Enfin, dernière petite anecdote : on peut régulièrement croiser sur le treck des maoïstes qui raquettent les nombreux touristes pour le compte de leur parti. Nous ignorions cela avant de partir et nous avons croisé, comme tout le monde, ces militants agressifs 2 jours avant la fin du treck. Ignorant ce type de pratique, lorsque le maoïste a présenté sa requête, avec tracte communiste à l’appui, Gildas a tout simplement refusé de verser la moindre roupie à ce parti. Nous avons donc continué notre chemin sans être inquiet, ni inquiété du reste. En revanche, quelle ne fût pas notre surprise de découvrir une fois de retour à Pokhara que la quasi-totalité des touristes s’était fait rackettée et qu’un touriste Suisse, avec qui nous avons dîné plusieurs fois sur le chemin, avait lui aussi refusé de payer et s’était fait passer à tabac sévèrement.
 
Cette peur rétrospective passée, nous avions prévu de finir par un petit stage de parapente de 4 jours avant de retourner en Inde. Malheureusement, Céline a eu quelques petits soucis de santé et, par précaution, nous avons pris contact avec notre assurance voyage qui a organisé quelques examens à faire à l’hôpital. Nous avons donc découvert l’organisation des soins et le système de santé Népalais : assez folklorique. Bon sinon, rien de grave pour Céline, mais le médecin a préconisé une semaine de repos. Nous avons donc prolongé notre séjour à Pokhara et Gildas s’est adonné seul aux joies du parapente. Le site de Pokhara est d’ailleurs mondialement réputé pour la pratique de ce sport, et on y rencontre beaucoup de français qui forment avec les autres parapentistes du monde entier une véritable communauté. Bon en revanche, si les conditions météo permettent de voler tous les jours au-dessus d’un site exceptionnel, l’encadrement est un peu léger et nous ne vous recommanderons pas cette école de parapente. En effet, il y a très peu de pente école et au bout d’une journée, on s’envole pour un vol de plus de 5 km, sans trop avoir travaillé l’atterrissage. Si bien que sur les 4 stagiaires, il y a eu 3 atterrissages dans les arbres, 1 dans les lignes électriques, 1 dans une botte de foin, 1 autre sur un buffle (authentique), 2 décollages extrêmes. Pas mal !
 
Enfin, alors que nous avions réservé notre transport pour l’Inde, quelle ne fût pas notre surprise d’être rappelé par Europe Assistance qui, ayant reçu le rapport médical du Népal, nous informait qu’ils organisaient notre rapatriement 3 jours après. Nous leur avons indiqué que Céline allait très bien et que nous pouvions, sans aucun problème, continuer notre voyage, mais lorsqu’ils nous ont indiqué qu’en cas de refus de notre part, nous ne serions pas couverts pour le reste de notre périple, nous avons compris que nous n’avions pas le choix et nous avons négocié quelques jours supplémentaires. Gildas a pu en profiter pour passer son deuxième niveau de parapentiste.
 
Nous n’avons donc pas pu visiter toute la partie ouest de l’Inde que nous attendions impatiemment et nous sommes rentrés, un peu déçu, le 17 décembre dernier. Bon, on ne va pas se plaindre, nous avons réalisé 95% de notre tour du monde sans souci majeur, et puis c’est quand même agréable de rentrer pour passer les fêtes avec la famille.
 
Vous aurez donc compris qu’il s’agit du dernier article de notre blog, et que vous n’aurez ainsi plus de diaporama à visionner au boulot. Bon, arrêtez de pleurer, comme on est très sympa, on vous donne rendez-vous dans quelques jours pour un dernier article de conclusion… on ne va pas se quitter comme çà quand même ! A suivre…
 
Gildas et Céline
 
Rubrique grand jeu concours :
 
Lors du dernier jeu, qui commence à dater maintenant, il s’agissait de trouver quel pont thaïlandais figurait sur la photo. A ce petit jeu de devinette, c’est une nouvelle fois Cécile Jullien-Palletier qui a donné la bonne réponse cumulant ainsi 3 victoires (il était temps…). Bon, vous l’aurez compris, étant en France nous ne pouvons plus effectuer de gage exotique. Nous nous en tiendrons donc à la proposition de Philippe Barret, à savoir un bon petit coup à boire d’une des nombreuses boissons qui nous ait été donnés de boire durant ce tour du monde. Bravo quand même à Cécile, fidèle lectrice logiquement récompensée.
 
Allez, nous vous proposons un dernier petit jeu. Pour la gloire. Il s’agit de retrouver sur la photo ci-dessous où se trouve Gildas. Vous pouvez proposer n’importe qu’elle position sur la grille. Indice : Gildas est en parapente. A vous de jouer ! (Ne vous explosez pas les yeux quand même...)

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Rubrique commentaires sur les commentaires :
 
Olivier Franquet : Merci pour l'anniversaire. Désolé, mais t'auras décidément pas eu de chance pour le jeu de notre blog. Tu connais le proverbe : malheureux au jeu...
 
Annick et Pierre Delaballe : Voilà enfin cet article tant attendu. Par conter, mauvaise réponse pour le jeu. Bon courage pour Pierre en 2008 pour le treck au Népal. Recod à battre : 11 jours.
 
Cécile Jullien-Paletier : Bravo Cécile. 3 victoire ! Quel parcour ! Bon pour le gage, soit tu fais faire le gage à Céline au tribunal de Valence, soit on te propose de goûter quelques douceurs qu'on aura ramener.
 
Philippe Barret : Merci de ne pas avoir siffler la réponse... Bon, t'auras compris qu'on va bientôt rabouler un dimanche matin pour voir comment se passe vos entrainements de pétanque... Ah, la plongée a repris ? Bon, il reste le pastis au moins ?

Yohann Brochard : Quelle joie de te retrouver bientôt (les autres aussi, soyez pas jaloux...) et de pouvoir enfin constater par nous même tes exploits physiques en raid. Gildas a-t-il gagner le droit de faire partie du team Brochard ?

Nicolas Malherbe : Pas terrible le niveau d'anglais... ca promet pour le voyage de noce aux USA !
 
Aurélie Delaballe: Désolé mais on pensait qu'avec le décalage horaire la mise à jour se faisait sur tes horaires. Tant pis !... Au fait, dans ta dernièer liste de course tu n'as pas oublié la pintade ?(private joke...)

Les Mateos : Notre tour du monde touchant àa sa fin on va nou aussi se rabattre sur celui de Perrine...Bref on va faire comme vous : baver devant les photos des autres !

MissMomo et MisterJay : On espère que vous avez pris de belles photos, histoire qu'on puisse visiter l'inde par procuration... Par contre, le retour approche !!  Pas trop les boules?! 

Aurélie et Arnaud : Salut, les dromadaires ! Bon ben à vendredi soir alors ! Pour le type déj, on prend du lait tout les deux + oeufs brouillés (oeufs frais si possible) + jus d'orange pressé à la main (un peu d'exercice te fera pas de mal Arnaud...). Pour Arnaud : merci de faire le ménage sur mon bureau avant que j'arrive... et de changer de g...
 

Publié dans Inde et Népal

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D
<br /> I have been visiting various blogs for my dissertation research. I have found your blog to be quite useful. Keep updating your blog with valuable information... Regards<br /> __________________<br /> <br /> dissertation<br /> <br /> <br />
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O
toujours aussi doué... vous aurez eu 2 commentaires similiaires ! !A bientôt
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O
Salut les Globetrots...De retour !... finis la rédaction de vos articles en souriant à ceux qui les liront au travail !... finis la liberté et bien de retour à la dûrs règles du travailler plus pour gagner plus... enfin pour ceux à qui ça marche !J'espère que les soucis de Céline sont totalement oubliés et profitte de ce 29 Janvier pour te souhaiter une bonne fête Gildas... et aussi à vous 2 une bonne année qu'elle vous soit aussi bonne que 2007 !Au niveau des kilos "festifs"... un remêde testé entre 4 deplacements entre Hongrie et Pays-bas, insèrer un rhume, une gastro et une rhinopharyngite et vous perdez ainsi un kilo de plus que vous n'aviez gagné  !J'espère que nous pourrons vous voir prochainement avec VanusaA bientôt
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O
Salut les ex-globetros,Enfin de retour, enfin un retour aux dûrs réalités du monde du travail ! Fini de sourir en rédigeant vos articles à ceux qui les liront !Niveau kilo festifs, entre 4 déplacements en europe vous insèrez un rhume, une gastro et une rhinopharyngite et vous perdez 1 de plus que vous avez gagné... je suis heureux de vous savoir de retour et espère vous voir très prochainement... pendant votre périple, je n'aurais pas été en veine pour remporter une de vos épreuves mais je suis d'accord avec vous... vive l'amour !Aujourd'hui nous sommes le 29 alors bonne fête à toi Gildas et j'espère que les petits soucis avant retour de Céline sont totalement oubliès...A bientôt
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C
Super les dernières photos et votre dernier article... J'espère que Céline s'est bien remise de son problème de santé... Entre nous je trouve qu'une seule  petite défaillance à la fin d'un tour du monde, et après un trekkingsans guide, et à vitesse expresse...C'est pas mal non ???Pour ce qui concerne le gage  de Céline, le seul fait de revenir dans les couloirs du palais et d'obtenir des décisions satisfaisantes sera une gageure...Eh oui, Céline, malheureusement les choses ne s'arrangent pas...Je vous remercie de votre gentille invitation, c'est avec joie que j'écouterai vos anecdotes et regarderai vos photos...Sans oublier bien sût vos "douceurs"...Bonne rentrée et à bien tôt .
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